Produits pour le traitement et

la prévention des Punaises de lit

à base d’huiles essentielles

Tout sur la punaise de lit

Punaise de lit

La punaise de lit précède l’homme sur la terre de quelques centaines de millions d’années. Hétéroptère de la famille des Cimicidés. Celle qui infeste les pays à climat tempéré est la Cimex lectularius, dont la réputation est maintenant établie dans tout l’Occident depuis le début des années 2000, coïncidant plus ou moins avec le début de la globalisation de l’économie.  Compagnon de la chauve souris durant des siècles, la punaise de lit a rencontré l’homme dans les cavernes, et ne l’a jamais quitté depuis. Dans les années 50, une forte recrudescence avait été observée en Europe. À l’époque, le DDT, avait permis une rapide éradication des punaises de lit. Beaucoup plus tard, les propriétés cancérigènes et la rémanence durant des centaines d’années de la toxicité du DDT avaient signé l’arrêt de son utilisation en Occident. Son exportation avait pourtant été autorisée, et les pays d’Afrique en ont usé et abusé, si bien que la punaise de lit a développé une résistance à cette molécule, et prolifère allègrement dans les villages d’Afrique.   Avec sa forme ronde et aplatie, et ses dimensions d’environ  5 mm à l’âge adulte lui permet de se faufiler facilement et ainsi passer inaperçue.

Comment ont-elles développé une résistance ?

punaises de lit

La résistance de la punaise de lit tient au fait qu’elle a longtemps fait face à des prédateurs de toutes espèces. Cela lui a permis d’aiguiser sa qualité principale, qui est de se dissimuler. En effet, contrairement aux autres insectes, dont l’instinct leur dicte de fuir au moindre danger, elle se dissimule dans des endroits difficiles à soupçonner, ce qui explique la forte résistance de la punaise de lit, développée face aux traitements draconiens qu’elle a subis. Mais les survivantes, munies d’une partie infime de la molécule empoisonnée, elle a réussi à développer une résistance aux insecticides et l’a rapidement transmise à sa descendance.  Grâce à la rapidité de sa reproduction, une nymphe devenant adulte au bout de 3 mois, sa résistance a rapidement pris de proportions inimaginables.  Si bien que malgré les progrès de la chimie et la découverte de nouvelles molécules, on ne parvient pas à trouver la réponse à la résistance de la punaise de lit. Bien au contraire, celle-ci se permet le luxe de renvoyer, tel un boomerang, la toxicité qu’on a voulue lui infliger afin de l’anéantir. 

Origine de la mutation de la punaise de lit

La mutation de la punaise de lit est à l’origine de sa capacité à résister.  Des chercheurs américains ont observé des punaises de lit, et ont comparé celles qui infestent les logements aux souches élevées en laboratoire, pour comprendre ce qui les différenciait. Alors que les souches élevées en laboratoire succombaient rapidement au moindre traitement, la mutation de la punaise de lit infestant les logements, leur permettait de déclencher un système de défense, consistant à fermer comme par un clapet, toute tentative d’intrusion d’une molécule toxique dans son organisme. Le point fort de la mutation tient par conséquent à son odorat qui, avant que l’odeur ne soit respirée, commande au système de défense de se déclencher.  Résultat, les molécules les plus toxiques, lorsqu’elles émettent une odeur, sont neutralisées, et ne sont pas en mesure de contrer la résistance issue de la mutation. Aussi, pour contourner ce phénomène, faut-il créer des produits toxiques qui n’émettent pas d’odeur, encore faut-il que ces produits puissent être pulvérisés dans les parties les plus inaccessibles du logement, seule chance de faire face aux conséquences de la mutation de la punaise de lit.